Du port de Chaumont-sur-Loire vers le Beuvron, une vingtaine d’entre nous avons embarqué jeudi 1er février, sous une bruine et un brouillard donnant à l’atmosphère une touche assez magique qui estompe les contours. Un regard attentif est nécessaire pour détecter la vie dans les airs, sur et sous l’eau.

Les paysages sont dépouillés et quelque peu fantomatiques en bordure de ce lit large et majestueux. Certains bénéficiaient de la couverture de Jean Rêve, et d’autres ont bravé les éléments ! Le mât de Cybèle est passé au ras du pont grâce à la maîtrise infaillible de Johanna, clap clap.

À l’entrée du Beuvron, tout se resserre et s’apaise dans une quiétude bienvenue. Alors, place à la pause déjeuner bien copieuse. Mentionnons la terrine de daguet-cognac-pistache de notre ami Gégé, qui a eu son franc succès. Voici un moment de partage à renouveler sans modération, pourvu que les eaux naviguées nous le permettent.