06.88.76.57.14

Blog-sur-Loire

Juillet 2019

• Parole de Millière !
Édito
Agnès Legout-Catelain – Présidente de Millière Raboton

• Quoi d’9 l’album du baptême de Gueule de Bois ?
Un baptême à 4 temps !

• Quoi d’9 au port de Chaumont-sur-Loire ?
L’embarcadère a glissé…

• Quoi d’9 côté Association Millière Raboton ?
Quelques échos de l’AG du 15 juin 2019
Rapport d’activité : les points forts

• Quoi d’9 à bord des toues Millière Raboton ?
On y vient, on y revient !

• Quoi d’9 entre Veuves et Rilly-sur-Loire ?
7 juillet 2019. Traversées dominicales en service

• Ceux d’Loire ?
Portrait de Nicole Le Bellu
Maire déléguée de Veuzain-sur-Loire

Cliquez sur les titres en bleu pour aller directement à l’article.

Parole de Millière !

Agnès Legout-Catelain
Présidente de Millière Raboton

© Marianne Mercier

La belle saison a pris « chaudement » ses quartiers sur une Loire aux eaux très basses, encore plus basses que l’été dernier, ce qui devient une constante à prendre sérieusement en compte …

Le 15 juin dernier à l’issue de notre Assemblée générale, nous avons vécu un grand moment : le baptême de notre nouveau bateau Gueule de Bois.

Merci aux personnalités qui ont tenu à saluer cet événement par leur présence sur la rive, parmi nous : Isabelle Gaudron, Vice-présidente de la Région-Centre Val de Loire ; Geneviève Repinçay, Conseillère départementale de Blois 3 ; Jean-Pierre Lefebvre, Maire de Chaumont sur Loire et Nicole Le Bellu Maire déléguée de Veuves, commune de Veuzain-sur-Loire.

J’adresse un grand merci affectueux à la marraine de notre nouvelle toue – Lilah Bigot-Doussard – qui a magnifiquement tenu son rôle avec gravité lors de l’embarquement et une convivialité enjouée pour offrir aux riverains, les flûtes où les bulles pétillaient…

Une ombre à ce tableau idyllique : dimanche 30 juin, au port d’Amboise, notre toue Peur du Noir a été vandalisée et coulée. Nous l’avons récupérée et remise en état mais nous avons perdu des équipements (extincteur entre autres…) dans cette fort désagréable aventure.

Espérons que pareil épisode soit le premier et le dernier !

Je vous et nous souhaite une très belle saison, enchantée par les événements Millière Raboton : les concerts Airs de Loire, les dégustations Vins et Voiles et la grande soirée d’été Moi, Leonardo, bâtard, plouc et génial…

À bientôt sur l’eau !

Quoi d’9, l’album du baptême de Gueule de Bois ?

Un baptême à 4 temps !

1

3

2

4

Quoi d’9 au port de Chaumont-sur-Loire ?

L’embarcadère a glissé… d’une centaine de mètres en suivant le courant.

La décision a été prise, mardi 2 juin, jour où le port s’est vidé. Nos guides-pilotes ont mis 2h30 pour sortir les bateaux à l’ancienne avec la bourde. Le bras de Loire que nous occupons s’assèche inexorablement…

Quoi d’9 côté Association Millière Raboton ?

Quelques échos de l’AG du 15 juin 2019

Appréciation globale satisfaisante avec un étiage constant en nombre de passagers (hors traversées de bac) : environ 6000. La présidente remercie en particulier les guides-pilotes salariés, les pilotes bénévoles et les « permanents » du port, pour la part que chacun a prise dans cet excellent maintien de notre activité.

Pour la haute saison 2019, l’équipe se compose comme l’an dernier, de 4 salariés (2 permanents/2 saisonniers) avec l’accompagnement efficace de 9 bénévoles.  6 nouveaux pilotes brevetés sont en formation pour assurer la relève et compléter l’équipe de bénévoles. Remerciements aux bénévoles interprètes et aux bénévoles permanents du port. Il y a désormais une vie sur le port : l’aménagement convivial (tables et chaises) invite les gens de passage, à pied ou à vélo, à s’arrêter, discuter, s’informer… La réhabilitation de Boire courant,  sous la gouverne de Gérald, a  créé une attraction pour de nombreux curieux intéressés.

© Marianne Mercier

Rapport d’activité : les points forts

  • Une fréquentation en hausse
  • Un nombre d’enfants accueillis en augmentation
  • Des passagers locaux en augmentation et un tassement de l’accueil des étrangers
  • Confirmation du succès des balades à thème : Airs de Loire et Vins et Voiles
  • Engouement pour la traversée entre les 2 rives : Rilly-Veuves (430 passagers avec ou sans vélo), marché d’Amboise (4237 billets distribués)
  • Une augmentation du nombre de bateaux en sorties individuelles
  • Un essor des balades crépusculaires et des pique-niques sur une île
  • Notre activité est de plus en plus repérée sur Internet : l’année prochaine nous demanderons des statistiques
  • La forte implication des bénévoles

Les élections

Le CA de Millière Raboton se compose de 12 administrateurs renouvelables par moitié tous les ans.

Les sortants
Nadine Caillaud, Gérald  Chipault, Eric Janvier, Christian Decroix,

Philippe Gautier, Gérard Schmitt se représentent et sont réélus

Nouvelle élue
Chantal Nebout (adhérente depuis 4 ans, journaliste, élue de la ville de Blois en charge de l’urbanisme). Bienvenue à la nouvelle administratrice !

Focus

L’une des grandes tendances qui se dégage du dernier bilan d’activité, concerne l’augmentation de la fréquentation de groupes et de sorties liées à des événements familiaux (anniversaire, enterrements de vie de jeune fille, mariages…) C’est en quelque sorte la confirmation que Millière Raboton fait non seulement partie du paysage, mais participe à la vie des riverains du fleuve soit de proximité soit de cœur !

Quoi d’9 à bord des toues Millière Raboton ?

On y vient, on y revient !

L’an dernier nous avons présenté les activités de Millière Raboton devant l’Amicale du Crédit Agricole. En juin 2019, nous avons eu le grand plaisir de partir en balade avec des membres de l’Amicale. Heureux retour !

Ce 28 juin, venue à bord de membres du Syndicat des Viticulteurs d’Amboise : 3 bateaux ont été mis en service pour les accueillir.

Ce 29 juin, tour de chant de Marie Cherrier au fil de l’eau, accompagnée par Stéphane Bressy aux percussions. Grande convivialité et enthousiasme de la part des fans de Marie, fidèles au rendez-vous. La soirée était caniculaire. Aurélien, Jean-Claude et Stéphane ont assuré le pilotage des bateaux et la bonne mise en place du concert. Pour éviter le grand soleil, le récital a eu lieu sur une île avec des spectateurs mis à l’ombre de parasols. Pour cette soirée, Millière Raboton était prestataire de service : les barques et les guides-pilotes étaient mis à la disposition de l’organisation du spectacle.

© G.Merlaud

Jeudi 4 juillet : soirée Articlub – réseau professionnel des artisans – avec une présentation sponsorisée par Groupama. Sur cette opération, Millière Raboton intervenait en tant que prestataire de service avec une proposition de balades de 30’ pour 5€.

Samedi 6 juillet : soirée franco-brésilienne organisée par un Français qui vit au Brésil et qui faisait découvrir son pays et, en particulier la Loire, à un groupe d’amis brésiliens qui ont pris place dans 3 bateaux.

Dimanche 7 juillet : balade sous le signe de l’échange avec l’Union Sportive de l’Enseignement du 1er degré (USEP), 3 bateaux, 36 personnes (des enseignants), navette à 5 € entre Chaumont et Rilly, avec ou sans vélo… en échange d’un outil pédagogique : une grande frise (5 m de long) déployée sur une bâche, qui illustre le bassin versant de la Loire (géographie, châteaux de la Loire, faune…) Il s’agit d’un jeu pédagogique qui fonctionne avec des cartes. Cet outil est très important pour Millière Raboton qui veut développer les sorties scolaires, projet dont la mise en œuvre est confiée à notre guide-pilote, Aurélien Turpin.

Samedi 6 et dimanche 7 juillet : 2 enterrements de vie de jeune fille. À noter que le dimanche 7, TOUS les bateaux de Millière Raboton étaient de sortie.

Quoi d’9 entre Veuves et Rilly-sur-Loire ?

7 juillet 2019. Traversées dominicales en service

L’été dernier l’engouement a été manifeste !  Alors, Millière Raboton récidive en 2019, en partenariat avec les communes de Rilly et de Veuves, le conseil départemental, le pays des Châteaux et la Préfecture sur une aide aux projets innovants… Jusqu’au 25 août, chaque dimanche, de 10h à 18h, embarquez pour la rive d’en face, avec ou sans vélo. Qu’on se le dise !

© Nicole Le Bellu

En cette 19e Saison d’été Millière Raboton, au départ du port de Chaumont, vous retrouvez vos classiques favoris qui ont leurs fidèles et accueillent avec plaisir les heureux qui vont les découvrir :

  • Airs de Loire : 8 août (18h) – 29 août (17h) 
  • Vins et Voiles : 16 août (18h)

Rendez-vous sur milliere-raboton.net pour plus d’informations.
Vous pouvez réserver par mail votre soirée ou par téléphone au 06 88 76 57 14

© Catherine de Preissac

© Myriam Fouasse-Robert

Ceux d’Loire ?

Nicole Le Bellu
Fidèle à son village, fidèle à la Loire

La vie de Nicole Le Bellu, maire déléguée de Veuzain-sur-Loire, nouvelle appellation de notre village de Veuves, est liée à notre terroir et au fleuve qui l’irrigue. Je dis bien notre village : en effet, sa grand-mère et ses parents furent longtemps les voisins de mes parents. Nous avons connu les derniers soubresauts d’une petite commune d’autrefois qui disparaît lentement mais sûrement avec la fermeture un à un des commerces traditionnels (boulangerie, boucherie, épicerie…) des 3 cafés (Café de la Plage, Café de la Gare ou chez Mademoiselle Marie, et le bistrot de la boulangerie) puis de l’auberge de la Croix blanche avant sa formidable renaissance de nombreuses années plus tard, enfin exit le pouls vivant du pays : l’école en mal d’enfants…

Passage éclair au Maroc

« Je suis née à Rabat en 1948. Mon père, militaire, a été affecté au Maroc de 1942 à 1948. Désireux de rentrer en France, il demanda une mutation pour la région parisienne et se retrouva en fonction…  à St Quentin dans l’Aisne où j’ai passé ma petite enfance. Il persévéra dans son choix de mutation et toute la famille finit par s’installer à Vincennes. »

© Nicole Le Bellu
Nicole, 6 ans,  dans la cour de l’école de Veuves

© Nicole Le Bellu
Nicole aux côtés de l’ancien maire, Pierre Leroux, bien avant les municipales

Filière professionnelle

« J’ai poursuivi mon cursus scolaire à Vincennes avant d’intégrer le Collège professionnel où j’ai obtenu un CAP de Sténo-Dactylo. J’ai commencé à travailler à 17 ans. C’était une époque rêvée pour trouver un emploi. C’est bien simple : je lis une annonce dans le journal, je téléphone et je décroche l’embauche. Mon premier coup de fil a été le bon. J’ai pris mes nouvelles fonctions à la COFICA, basée à Neuilly, société qui intervenait dans le domaine des crédits d’achats de véhicules. C’était une structure importante qui comprenait une centaine de salariés. »

Coudre par correspondance

« En 1967, j’ai signé un nouveau contrat comme secrétaire dans une petite société, sise avenue de l’Opéra. Le Cours Lutétia proposait des cours de coupe et de couture par correspondance. Il faut se souvenir qu’à l’époque le prêt à porter n’était pas aussi développé qu’aujourd’hui, loin s’en faut, et qu’il était courant de coudre à la maison les vêtements. D’ailleurs je me souviens de ce temps-là où les femmes, même modestes, étaient très élégantes car elles s’habillaient sur mesures… Le Cours Lutétia envoyait par la poste les livrets et patrons au domicile des couturières plus ou moins chevronnées, puis recevait en retour les réalisations pour « expertise et contrôle » avant de les réexpédier aux intéressées qui pouvaient enfin exhiber leur élégance au grand jour ! »

Des années fertiles

« Je me suis mariée en 1967. Nicole Dubois devient Nicole Le Bellu. Nous nous installons à Vincennes et là, par les hasards de l’histoire, j’habite juste en face de mon ancienne école. Deux enfants nous naissent en 1969 et 1971, une fille et un garçon. Puis ce fut pendant une dizaine d’années, un nouvel ancrage en Seine et Marne à Ouzouer-la-Ferrière. J’y ai vécu une expérience professionnelle inédite. En 1974, je travaille comme secrétaire au service commercial auprès de la société COVAL qui vend du matériel frigorifique pour les restaurants. Le jour de mes 30 ans, la société met la clé sous la porte. Il était question de boire ensemble un dernier verre : le pot de clôture a eu lieu chez moi confondu avec la célébration de mon anniversaire… Commence alors pour moi, une année de chômage. Pas question de ne rien faire, je m’inscris à Paris VIII en cours de Gestion informatique et je suis des cours d’anglais à Melun. Je me remémore encore que j’étais payée, pendant cet intermède au chômage, à 110% de mon dernier salaire… »

Détour par Tours

« De 1979 à 1981, à ma plus grande joie, nous décidons d’habiter Tours. René, mon mari, qui est commercial pour la société de produits capillaires Pantène (Groupe Roche), se voit attribuer une zone très importante de 12 départements dont Tours est l’épicentre… Je rencontre alors une personne de mon âge qui est en phase de création d’une société de vente de produits phytosanitaires. Le challenge m’intéresse malgré le fait qu’il me propose un salaire inférieur au montant du chômage que je touche. J’accepte avec la promesse que, si la société se développe correctement, il y aura une prime conséquente. Ce qu’il advint. J’ai reçu une prime de fin d’année de 5000 F ce qui, à l’époque, était énorme. À cette courte période, a succédé un regroupement familial à Ormesson-sur-Marne autour de ma belle-mère. Retour donc au Val de Marne. J’ai quitté le travail et Tours en pleurant…»

Fin de carrière sur un plateau

« En juillet 1981, à Ormesson, un poste s’offre à moi d’emblée dans le 1er cabinet d’assurances du lieu qui a pour cliente… ma belle-mère. Suite au déménagement du dit cabinet, la secrétaire en poste refuse de parcourir un trajet de 3 km, aller et retour. Je n’ai donc pas eu à chercher du travail. Je serai en fonction dans ce cabinet jusqu’à ma retraite. »

© Nicole Le Bellu

Veuves tout au long de ma vie

 

« J’ai vécu toutes mes vacances Veuves, il en fut ainsi depuis mon tout jeune âge : ma grand-mère, Madame Naslé, y habitait. Ma mère, quant à elle, était native d’Angers. L’univers ligérien se retrouvait donc au cœur de ma vie de famille. Ma grand-mère n’était pas une personne facile. Entre les vacances à Veuves et les hivers qu’elle venait passer chez mes parents, j’ai eu tout loisir de l’observer ! Elle racontait, mi-figue, mi-raisin, un épisode de voisinage où, cachée derrière le mur et les arbres de son jardin qui finissait en bordure de rue, elle entendit une conversation entre Mesdames Robin et Benassis qui disaient pis que pendre sur elle… Je ne me souviens plus si elle est intervenue… »

Ancrage à Veuves

« En 2005, nous venons habiter à Veuves dans la maison de ma grand-mère. Maman, devenue veuve, y résidait seule. René, mon mari, avait pris sa retraite : il s’est installé à Veuves auprès de Maman pendant que je continuais de travailler à Ormesson. Je partais la semaine (du mardi matin au vendredi soir). À Ormesson, je logeais au-dessus de mon lieu de travail où un appartement en duplex avait été aménagé. »

Engagement municipal

« Rien d’un poisson d’avril : j’ai pris ma retraite le 1er avril 2008. Comme j’étais domiciliée à Veuves, j’ai un peu anticipé sur les événements puisque j’ai été élue conseillère municipale en mars 2008. Un an après, j’ai accédé au poste de 3e adjointe. Je me suis investie à fond tout de suite. Je m’entendais bien avec Yves Penguigui, conseiller municipal. Ainsi, je n’ai pas eu de coupure d’activité. Au début, le rythme de travail à la mairie étant moins soutenu à l’époque, j’avais l’impression d’être en vacances. Puis il y eut la création de la bibliothèque Françoise Benassis et le montage de 3 expos : Les Oiseaux, Un siècle sans crue, Le Loir-et-Cher et Veuves au début du siècle. » 

L’aujourd’hui de Veuves

De nouvelles familles avec de jeunes enfants se sont installées dans cette commune tranquille de 217 habitants. Ils y trouvent un confort de vie tout en étant proches de leur travail. Amboise constitue actuellement un nœud économique important en parallèle avec Chouzy et Blois. Il faut savoir qu’il y a plus de personnes de Tours qui viennent travailler à Blois que l’inverse. Miracle, le commerce qui se concentrait exclusivement sur l’auberge de la Croix blanche, s’ouvre à d’autres horizons. Une activité de Décoration florale dédiée aux entreprises et aux événements festifs vient d’être lancée sous forme libérale.

Une boutique de vente de minéraux et de bijoux fantaisie est ouverte les samedis/dimanches, pour le moment. Cette activité très présente sur les réseaux sociaux au travers de son site, enregistre un succès qui dépasse les prévisions de départ. Sur un tout autre plan, on ne peut plus construire une seule maison de plus à Veuves déclaré zone inondable. On se bat à la mairie pour favoriser les constructions sur pilotis. D’autre part, un autre objectif est de développer l’attractivité touristique et de focaliser l’attention sur la Loire

Retourner au fleuve

« Chaque semaine, quand je travaillais à Ormesson, j’effectuais le trajet en train. De Blois à Veuves la Loire est une merveille. Par la départementale parcourir Blois-Tours demeure une évasion dans la beauté du fleuve et de sa lumière. Dès que je suis devenue maire en 2014, j’ai repris l’initiative d’ouvrir des traversées entre Rilly et Veuves. L’idée en avait été lancée par Yves Penguigui et le maire de Rilly à l’époque. Nous nous sommes tout naturellement tournés vers l’association Millière Raboton. J’avais déjà rencontré Jean Ley lors d’une réunion à Blois. Le personnage était impressionnant. Il y eut, dans la foulée, plusieurs rendez-vous avec Jean Ley et Christian Decroix. Au sein du Conseil municipal, c’est moi qui suivais le projet. Les 1ères traversées, en juillet et août 2018, ont remporté un franc succès sans débauche de communication ! 430 passages enregistrés sur 8 dimanches, beaucoup d’habitants du cru : Monteaux, Onzain, même Herbault, Chouzy… certaines personnes n’étaient jamais allées en bateau sur la Loire… Cette année, nous reprenons les traversées avec grand plaisir, en partenariat avec Millière Raboton. »

Alors, à bientôt sur l’eau ! 

Conception-Rédaction Françoise Benassis
Direction artistique Adèle Gagnier
English/Spanish version >