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Blog-sur-Loire

Septembre 2020

Parole de Millière !
Agnès Legout-Catelain – Présidente de millière raboton

Une saison pas comme les autres…
Des chiffres attendus, d’autres détonants !

La flotte millière raboton
Maintenance en vue, expertise et perspectives

Airs de Loire & Harpémo
Sublime dernière !

Balades à l’aube
Tous les matins du monde…

Les vacances apprenantes
2 heures de classe au fil de l’eau…

Françoise de Person
Nouveau site des éditions La Salicaire

Ceux d’Loire
Etienne Dubray

 

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Parole de Millière !

Agnès Legout-Catelain
Présidente de Millière Raboton

©Etienne Dubray

Nous venons de passer, juillet et août, avec une intense activité qui nous rassure après tous ces mois d’incertitudes, de tracas et d’angoisse.

Vous êtes venus en nombre vous dépayser, quelquefois à plusieurs reprises, nous n’avons pu, parfois, satisfaire toutes vos demandes, merci de ne pas nous en tenir rigueur, vous nous reviendrez, nous n’en doutons pas, vous êtes des proches de millière raboton…

La météo s’est montrée favorable, malgré quelques pics de températures difficiles, pour nous offrir, dernièrement, des ciels magnifiquement ennuagés, presque menaçants, qui nous ont rafraichi d’une petite nuée bienvenue.

Pour la dernière d’Airs de Loire, une température juste appropriée, quelques apparitions solaires réchauffantes, sans trop, presque aucun moustique, un coucher de soleil sublime avec des lumières exceptionnelles, parfaitement magiques, tout comme la prestation de nos chers amis Cathy, Guy et Jean-Michel. Tout cela gravé dans nos têtes !

Ce que nous appelons, l’arrière-saison, durant septembre et octobre peut encore offrir de belles balades tout au long du jour et jusqu’à la nuit, avec une petite laine sans doute mais le même attrait pour cet environnement constamment renouvelé.

Remercions encore nos guides-pilotes salariés et bénévoles pour leur professionnalisme, leur bienveillance et leur attention au bien-être des passagers.

L’équipe des guides-pilotes salariés va évoluer : Aurélien qui a accompagné l’aventure millière raboton, pendant une décennie, va prendre son envol vers d’autres horizons personnels. Nous lui souhaitons le meilleur, connaissant son amour profond de la Loire et de son environnement.

Une saison pas comme les autres…

Des chiffres attendus, d’autres détonants !

Quelques repères pour dessiner les grandes lignes de l’activité millière raboton durant les mois de juillet et d’août 2020. Commençons par le moins fringant. D’avril à août 2019, nous avons comptabilisé 1025 heures de navigation : pour la même période, en 2020, seulement 667 heures. 359 heures de navigation manquent à l’appel. Mars, avril, mai 2020 – 0 balade – pour cause de confinement. Juin : 38 balades (les affaires reprennent doucettement…) Il était grand temps de redresser la barre ! Maintenant, mettons en regard, le nombre de balades, août 2019 (121 balades) et août 2020 (151 balades), la balance penche en faveur de ce mois d’août qui vient de s’achever. Nous avons une reconnaissance particulière pour la fidélité de nos proches et sympathisants et, en plus général, pour l’envie de découverte du fleuve de la part des « locaux ». La Loire a bénéficié d’un fort engouement, ainsi, sur les 2 mois, juillet et août, nous avons accueilli 3078 passagers. Les vacances, en 2020, ont arboré les couleurs ligériennes. On peut dire que chaque journée de cette saison, a ressemblé, peu ou prou, à cette moyenne : 3 balades-découvertes, 2 balades sur des bateaux privatisés (exemple : l’une de ces balades s’est déployée sur 5h, aller-retour Chaumont-Amboise, pour fêter un anniversaire) et 2 balades crépusculaires.

©Nat Touré

La flotte millière raboton

Maintenance en vue, expertise et perspectives

©Stéphane Doussard

La stratégie engagée pour 2020-2021 consiste à fonctionner avec 5 bateaux navigants. Il convient de se séparer de TOUT AUSSITÔT : l’idée serait d’en faire don plutôt que de le détruire. La maintenance des bateaux à mettre en œuvre s’avère importante – 5 bateaux expertisés en octobre et homologués en décembre – il sera nécessaire de convenir, avec la municipalité, d’un emplacement adapté pour installer notre barnum, afin de pouvoir travailler par tous les temps. Dans l’objectif de pouvoir déplacer les toues, pour assurer leur maintenance et, en particulier, la toue cabanée, lors de son hivernage, millière raboton a fait l’achat d’une remorque de 7.50 x2.30 m.
Des démarches importantes seront entreprises pour parvenir à réaliser un ponton démontable, absolument nécessaire, pendant la haute saison. Quelques idées trottent dans l’air, avant d’être mises à l’étude : bateau avec ombrage démontable, cabane démontable…

Airs de Loire & Harpémo

Sublime dernière !

Le 20 août dernier, c’est avec un pincement au cœur que les participants ont assisté à Airs de Loire & Harpémo. En effet, les musiciens, Catherine de Preissac, harpiste, Guy Cottin, flutiste, et le comédien Jean-Michel Roger, ont donné, ce soir-là, leur dernière performance sur Loire, performance qu’ils ont généreusement offerte à millière raboton pour accompagner la reprise de nos activités. Merci et encore bravo ! Vous pouvez les retrouver dans ce formidable article paru dans la NR41 et le formidable diaporama réalisé en direct !

©Stéphane Doussard

Balades à l’aube

Tous les matins du monde…

L’engouement pour les balades à l’aube ne se dément pas : 6 sur le mois d’août.
Certes, il faut tomber du lit dès potron-minet, mais, quelle récompense ! Les passagers du point du jour, sont généralement des gens du coin, fascinés par cet opéra du silence qu’est le spectacle du soleil se levant sur le village et son château. L’ambiance conjugue admiration, émotion, bonheur d’assister à cette cérémonie titanesque aux lumières et aux couleurs uniques, chaque matin. La toue stoppe un temps, à une centaine de mètres du port, près de l’île aux mouettes pour, dans un silence recueilli, entendre la nature et les oiseaux se réveiller à leur mesure. Pour une fois, les humains sont en avance… Goûtez la magie de ces quelques photos d’aubes…

©Stéphane Doussard

Les vacances apprenantes

2 heures de classe au fil de l’eau…

Ce projet initié par l’Union Sportive de l’Enseignement du 1er degré – USEP – pour les classes préparatoires de l’école Raphaël-Périé de Blois, prévoyait une base de vie au camping de Chaumont-sur-Loire, et entre autres activités, une balade sur 2 toues millière raboton, balade guidée, pilotée et commentée par Aurélien et Thomas.
Les élèves étaient entourés par 4 encadrants USEP et par, Sandrine Lair, Inspectrice d’Académie, Directrice des services de l’Éducation nationale du Loir-et-Cher. Une averse intempestive s’est invitée, les enfants ont eu la joie d’utiliser des parasols pour se protéger de la courte pluie et jouer de cette manière, à la tortue à bord. Un pique-nique a été partagé dans l’île boisée. Les toues millière raboton et leurs dévoués pilotes, ont raccompagné les enfants, en bateau, jusqu’au terrain de camping. La Nouvelle République 41, s’est fait écho de l’événement, bonne lecture !

Françoise de Person

Nouveau site des éditions La Salicaire

©collection particulière

Un seul sésame : editions-la-salicaire.com pour dénicher les ouvrages de Françoise de Person, incontournables pour avancer dans la connaissance du passé de la Loire grand fleuve commercial, artère économique essentielle à la vie du pays. Vous pourrez y consulter librement ses articles et accéder à la rubrique Archives pour peaufiner votre culture ligérienne. Cette rubrique sera enrichie en continu. Partez à la découverte d’un univers insoupçonné, où les acteurs sont mariniers, marchands, ou exercent tous les métiers qui vivent de « la rivière »… Une plongée dans le temps et dans l’espace.

©collection particulière

Un seul sésame : editions-la-salicaire.com pour dénicher les ouvrages de Françoise de Person, incontournables pour avancer dans la connaissance du passé de la Loire grand fleuve commercial, artère économique essentielle à la vie du pays. Vous pourrez y consulter librement ses articles et accéder à la rubrique Archives pour peaufiner votre culture ligérienne. Cette rubrique sera enrichie en continu. Partez à la découverte d’un univers insoupçonné, où les acteurs sont mariniers, marchands, ou exercent tous les métiers qui vivent de « la rivière »… Une plongée dans le temps et dans l’espace.

Ceux d’Loire 

Etienne Dubray
L’impulsion du voyage

©Collection particulière

Au premier regard sur le visage de Étienne Dubray, certains traits évoquent des horizons lointains, du côté de l’Asie. Pour peu que la génétique s’en mêle, il est possible que le voyage s’inscrive, tout naturellement, dans son héritage familial. Ajouter à toutes ces prédispositions, quelques années d’enfance africaine et le tour est joué : les étapes de son parcours de vie, afficheront quelques noms d’ailleurs, dessinant ainsi la géographie personnelle qui correspond à sa jeune vie.

©Collection particulière

Au premier regard sur le visage de Étienne Dubray, certains traits évoquent des horizons lointains, du côté de l’Asie. Pour peu que la génétique s’en mêle, il est possible que le voyage s’inscrive, tout naturellement, dans son héritage familial. Ajouter à toutes ces prédispositions, quelques années d’enfance africaine et le tour est joué : les étapes de son parcours de vie, afficheront quelques noms d’ailleurs, dessinant ainsi la géographie personnelle qui correspond à sa jeune vie.

Enfance rime avec itinérance
Etienne Dubray nait à St-Cloud, en 1988. Sa prime enfance se déroule à Nogent-sur-Marne. Il découvre la Maternelle, à l’école Pierre et Marie Curie. Son père travaille à EDF, en charge de formation, démarche qualité, assistance au personnel et au matériel. De fait, son enfance va se séquencer entre périodes de vie en Afrique (quelques années au Gabon, puis installation au Mali) et retours en France (Nogent puis Châteauroux), au fil des étapes de la carrière de son père. 

L’enfance africaine
« C’est le cœur de mon enfance. Pour moi, ce sont des images pleines de couleurs, des goûts de bonnes choses à manger… Nous vivions, au Mali, dans un quartier qui accueillait une population très mélangée. J’avais dans les 4/5 ans. C’était le paradis. On avait école le matin, l’après-midi, c’était sport. Les écoles étaient mixtes. Je me souviens d’un copain allemand avec qui je troquais mon goûter contre le sien qui me faisait saliver : sandwich beurre et jambon fumé avec du pain de seigle… hum. C’était formidable… on pouvait improviser des parties de foot à tout moment. Les serpents se glissaient jusqu’à notre terrasse et même dans la piscine… Il y avait un manguier au-dessus de la piscine… Je me revois dégustant de succulentes mangues… Vraiment, le paradis ! »

©Collection particulière

Atterissage à Châteauroux
« C’est là que j’ai terminé l’école élémentaire et abordé le collège jusqu’en 5e. J’ai délaissé définitivement le foot pour me consacrer au rugby. Le retour d’Afrique a été difficile à négocier. J’ai fini par m’acclimater à ce qui constituait un nouveau monde pour moi. Je me suis fait des copains. J’ai coulé de belle années à faire gentiment les 400 coups en baroudant à vélo dans le quartier, en sonnant aux portes avant de détaler… J’étais un garçon plein de vie ! Je me suis inscrit au Rugby Athlétic Club Castelroussin (RACC). Et là, ça a été l’engagement total ! C’est tout un monde le rugby : on se défoule, on joue, on se castagne, on baigne dans une ambiance formidable et on respecte collectivement des valeurs fondamentales comme l’entraide, l’amitié, la combativité… Il n’y a pas que les muscles : la psychologie est déterminante. Je jouais demi de mêlée, rôle pivot s’il en est, c’est lui qui gère les avants athlétiques, transfère les ballons aux trois quarts qui courent vite… »

©Collection particulière

Figurines de Fantasy et colos
« À Châteauroux, je me suis pris de passion pour les figurines Warhammer 40 000. Il s’agissait de peindre des guerriers en plastique, impliqués dans des guerres aux Royaumes Mortels, avant de jouer avec eux, en les disposant sur une table et en devenant des stratèges de haute volée ! Cette entreprise, de fait, représentait un fameux challenge entre un copain de mon voisinage et moi-même. Son beau-père intervenait à l’École des Beaux-Arts, alors on rivalisait, je voulais peindre aussi bien que lui, j’avais dans les 12-13 ans. À cette époque, les vacances, pour moi, c’était les colos – Bretagne, Jura, Pyrénées…- on y pratiquait plein de sports, je me souviens des séances d’accrobranche. On partait en train, c’était l’aventure, les rencontres… J’ai toujours été avide de rencontres, de connaître d’autres mondes, de vivre libre… »

La Loire approche…
« Nous avons encore déménagé, mon père ayant obtenu un Diplôme Universitaire de Technologie (DUT), sa carrière à EDF a encore évolué, et nous nous sommes installés à Joué-lès-Tours. C’était l’époque de mon adolescence. J’allais au collège à deux pas de chez moi. À la maison, mes parents étaient très attentifs à chacun d’entre nous. Nous, c’est-à-dire, mon grand frère, Romain, Clarisse, ma sœur et moi, le troisième de la fratrie. Mes parents tenaient compte de ce qui nous intéressait, nous motivait. J’ai eu une enfance et une adolescence bien entourées. Nous habitions un quartier pavillonnaire, j’avais plein de copains. J’ai commencé à sortir, découvrir d’autres centres d’intérêt, boire mes 1ères bières, fumer mes 1ères cigarettes, faire du skate, du vélo et…des graffitis… Je m’émancipais, en somme… Et puis, fidèle à ma passion, j’ai repris à fond le rugby au Club de Joué-lès-Tours. »

Entrée dans la vie
« Après le BEPC, l’école ne m’intéressait plus, je ne m’y retrouvais pas. Le côté africain, plutôt détendu, avait laissé beaucoup de traces. Plus que tout, j’aimais jouer sans contrainte et être libre. J’ai choisi de passer un BEP Plomberie sur 2 ans, en alternance, soit 1 mois chez un patron, puis 2 semaines, au CFA, pour un apprentissage théorique auprès des Compagnons du Devoir qui en assumaient l’animation. Des séquences professionnelles, aux séances d’apprentissage chez Les Compagnons du Devoir ; les allers et retours se sont avérés très clairvoyants et très enrichissants. Ce furent mes années 16-17 ans. Cependant, cette formation a correspondu à une période difficile : l’entrée dans la vie active, le passage de l’enfance vers le statut d’adulte avec le lot de tracas qui va avec… Je m’étais jeté dans la plomberie par hasard : un plombier était intervenu chez moi et nous avions parlé métier ensemble. Ce qui m’avait accroché dans cet échange, était l’aspect manuel du métier, cela me plaisait vraiment, et de plus, il avait ajouté qu’il gagnait bien sa vie… Je n’ai pas cherché plus loin et je me suis lancé dans la filière plomberie. Je suis allé jusqu’au bout de ma formation mais, d’évidence, ce n’était pas le métier que je voulais exercer. » Grâce a mon père qui cuisine, je me suis pris de plaisir pour cette activité, et je voudrais persister sur cette voie, en passant un CAP. »

 Le goût du voyage
« J’ai travaillé, gagné ma vie, et repris les voyages, sac à dos et Guide du Routard en poche. Je suis parti au Brésil avec Thomas Baussier, guide-pilote saisonnier à millière raboton. Entretemps, je m’étais installé à Montrichard pour me rapprocher de la bande qui y vivait : Thomas Baussier, Jérémie Serin et Christelle. À Montrichard, nous habitions les uns chez les autres, Jérémie Serin m’a accueilli. J’y ai rencontré Omar Benbedra, guide-pilote millière raboton – devenu maintenant bénévole – dans une opération Nettoyage des bords du Cher. Je me suis investi dans des événements culturels avec notre asso EMULATION, dont le siège est situé à Montrichard avec projections de films « Sous les pavés la terre », « La Belle verte » de Coline Serreau), musique (djembé, bœufs, soirées musicales)… Pendant une dizaine d’années, avec le noyau de copains de Montrichard, j’ai participé à des missions humanitaires, entre autres, au Sénégal, pour une campagne de reboisement, avec interventions dans les écoles, au Maroc également, pour une campagne de réhabilitation d’une ferme en permaculture .

©Collection particulière

L’aventure, c’est l’aventure
« En 2011, je me suis lancé dans l’aventure en partant vivre 3-4 mois en Guyane française, et plus précisément à Cayenne en compagnie de ma chérie, Christelle, qui préparait un master de géographie. J’en garde un super souvenir malgré l’ambiance particulière de cette terre. Premières sorties dans la jungle amazonienne avec soirée au coin du feu, sous un carbet (abri de bois sans murs, typique des cultures amérindiennes) le tout sur fond de singes hurleurs ! D’autres aventures m’ont fait signe du côté du Maroc, de l’Espagne, des Pays-Bas… Un voyage m’a beaucoup marqué, le premier avec mon fils, en Turquie, du côté d’Izmir, un pays magnifique, les gens y sont très accueillants, les paysages majestueux comme les sources chaudes de Pamukkale, les ruines d’Éphèse … Il est vrai que j’ai eu, très tôt, le goût du voyage en naissant dans une famille qui a toujours bougé… Au fond, le voyage est ma condition naturelle. Il faut dire que ma lignée génétique personnelle m’a bien prédisposé à avoir envie, en permanence, de prendre la route, je suis issu d’un triple métissage : français, vietnamien et indien ».

©Collection particulière

Et millière raboton dans tout ça ?
« Quand j’ai rencontré mon ami Omar, à Montrichard, il travaillait pour millière raboton, il m’a invité à naviguer sur la Loire.J’ai eu la chance de croiser Jean Ley 2 ou 3 fois, seulement. C’est ainsi que j’ai découvert la Loire en retrouvant, le sentiment du voyage, enrichi de l’apprentissage de la nature, de l’humain, du partage… J’ai appréhendé un nouveau terrain de jeu pour pêcher, camper, faire de la musique… la belle vie quoi… millière raboton m’a proposé de passer mon permis bateau à passagers – ce que j’ai accepté bien sûr – j’ai obtenu mon permis en 2018, et suis devenu guide-pilote bénévole. Je porte un grand intérêt à la voile : j’ai pratiqué le bateau en mer, j’avais en tête, avec Christelle, de partir en voyage en bateau. Puis, Thomas est devenu guide-pilote saisonnier millière raboton et prosélyte des balades en Loire. J’ai fait mes premières balades en solitaire, dans le grand bain. Partager les connaissances sur la Loire, son histoire, sa faune, sa flore, est vraiment très plaisant. Les passagers sont vraiment très curieux, ce qui permet des échanges très enrichissants. J’ai tout de suite été séduit : c’est un grand plaisir personnel de naviguer sur la Loire, de partager toutes ces sensations sur l’eau avec les passagers, de parler avec eux de ce fleuve si chargé d’histoire, et qui a tant à nous apprendre…

À quand une belle aventure ligérienne à bord d’une toue pilotée par Étienne ?

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